Title: Le Système Solaire se mouvant
Author: August Tischner
Release date: November 25, 2010 [eBook #34435]
Language: French
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Note de transcription:
Cette version électronique reproduit, dans son intégralité, le texte d'origine avec toutes ses incohérences, tant du point de vue de l'orthographe et du vocabulaire que de la grammaire.
On est dans une grande erreur, quand on suppose, que les astronomes et ceux qui s'occupent de l'astronomie, ont par cette raison, en général, plus de capacité et d'intelligence que les autres mortels, qui cultivent la science.
PAR
AUGUST TISCHNER.
LEIPZIG
GUSTAV FOCK
1894.
Le système solaire se mouvant.
Que la théorie astronomique actuelle se trouve dans un état pitoyable, nous avons déjà montré dans nos brochures, qui sont nommées à la fin de ce livre.
Dans la brochure présente nous avons quitté l'hypothèse de Copernic, fondée sur le soleil fixe au centre de l'univers et proposons un système solaire fondé sur le soleil se mouvant dans l'espace.
C'est tout indifférent quelles idées on se fait sur la mécanique céleste, si elles sont seulement rationnelles, mais jamais on y parviendra à prouver, qu'elles sont la vraie explication de la réalité.
C'est tout clair, que l'attraction continuelle du soleil fixe rend impossible la circulation des planètes en orbites formées autour de lui; les planètes circulent autour de la ligne du mouvement du soleil, elles doivent suivre le mouvement du soleil, en circulant autour de la ligne de sa marche.
Nous voulons maintenant proposer un système solaire dans lequel l'arrangement des planètes est tel quelles se rapportent au soleil se mouvant dans l'espace.
Après le soleil, qui marche au-devant des planètes, comme le noyau d'une comète, viennent rangées l'une après l'autre les planètes des quelles les courves révolutives deviennent toujours plus grandes, selon leur distance du 6 soleil, comme si elles représentaient autant de pendules centrifuges, dont les fils partent du centre du soleil.
Si les planètes sont toutes en circulation et le soleil est admis, en pensées, immobile, les fils (radii vectores) décrivent des cônes réguliers, dont la base est perpendiculaire sur l'axe du cône. La circonférence de cette base du cône est ce que nous nommons la curve révolutive originaire. Si les cônes sont dans le même angle ils semblent ne faire qu'un seule et les planètes circulent sur la surface du cône. A en juger d'après les observations il semble en effet que les cônes sont presque dans le même angle et que par suite de cette position le zodiaque à été a considéré comme une borne commune des orbites.
La projection centrale des anneaux des orbites est naturellement un cercle, qui par la projection se change en ellipse quelconque. Vus du soleil les orbites des planètes paraissent projetées dans une configuration, qui représentent exactement le diagramme de Copernic; le soleil est au milieu de toutes les orbites et les planètes semblent circuler autour de son centre.
Le cône même montre le système vu de côté; si les curves sont dans le même angle, alors la grandeur des orbites—leur demi-diamètre—se rapportent comme la distance du soleil. C'est clair que d'aucune planète cette curve peut être vue d'une autre planète comme centrale, il faut qu'elles se représentent comme cercles excentriques ou elliptiques. La terre en rapport à une autre planète vient dans des différentes positions, aussi dans une telle que ses satellites montrent des orbites projetées centralement.
Si le soleil se meut, alors la direction de son mouvement est l'axe commun du cône, c. a. d. que les planètes circulent autour de la linge décrite par le soleil dans l'espace, que ligne nous pouvons nommer l'orbite du soleil.
Par le mouvement propre du soleil les anneaux du 7 mouvement des planètes considérées jusqu'à présent, comme des courves planes, sont changées en spirales, qui sont d'autant plus étendues ou alongées, que la vitesse du soleil est plus grande en comparaison de la propre vitesse de la planète: ces courves de double courbure ne sont plus perpendiculaires à l'axe du cône ou sur l'orbite du soleil, mais elles ont une inclinaison vers lui, ce qui est indiqué par l'angle du cône.
Supposons que le soleil se meut en ligne droite, alors les anneaux des spirales, qui sont décrites par les planètes forment un cylindre droit dont le diamètre est égal au diamètre de la courve révolutive originaire ou à l'anneau spiral: dans ce cas on pourrait nommer les spirales cylindrique, par ce que les anneaux suivant les uns les autres, ont le même diamètre et la même position. Mais c'est clair que le soleil ne pouvant pas se mouvoir en ligne droite, se meuve aussi dans une curve; ainsi le cylindre, que nous nous sommes représenté recevra une courbure. C'est bien clair, que les diamètres des anneaux spirales ne sont pas changés par cette troisième courbure, mais la projection de ceux-ci est modifiee.
En regardant de cette manière le cône—la figure cônique du système solaire—recevra une faible courbure, et présentera l'image, qui nous rappelle à la figure d'une corne d'abondance.
La section centrale—en longeur de l'axe—du cône courbé est un triangle sphèrique. Vu centralement le soleil ne se trouve plus au centre de toutes les orbites—anneaux spirales—mais il se produiront les excentricités et les inclinaisons apparentes des orbites l'une vers l'autre.
La terre est peu éloignée de la pointe du cône—du soleil—et se meut sur sa surface; les positions continuellement changeantes et variables des planètes elle voit perspectivement, chaque moment du mouvement il y a une autre projection.
8 Si on se représente, que toutes les planètes sont situées dans la même ligne sur la surface du cône, cela est comme si l'on disait, que les planètes inferieures, Mercure et Venus sont en même temps en conjonction et les planètes superieres Mars, Jupiter, Satourne, Uranus et Neptune en opposition d'après le système de Copernic; cette position de toutes les planètes avait déjà été considérée par les anciens et leur retour nommé la grande période. Que cette période soit agrandie par les deux nouvelles planètes Uranus et Neptune c'est clair.
Ce qui concerne les périodes et les positions des corps du système solaire se mouvant dans l'espace, leur changement est peu apparent, parce que l'entier reste ensemble et par conséquent la figure du système n'est pas changée. Les distances relatives sont enchainées au mouvement réglé: si d'après cela l'observation des corps appartenant au système solaire était suffisante à l'astronomie, alors les phénomènes pourraient être reduits à leur plus grande simplicité; mais comme pour comparaison le ciel sert de fondement et base, il s'ensuit une complication d'après laquelle le ciel étoilé entier semble lui même se déplacer comme un entier dans l'espace.
Considérons la figure cônique du système solaire sous condition, que le soleil est immobile, alors les planètes peuvent décrire des courves fermées, c. a. d. qu'elles circulent constamment dans les mêmes courves planes, que nous avons nommées l'anneau ou la courve révolutive originaire de la planète et qui ne change pas d'endroit dans l'espaces, par la raison que ces plans, d'après les idées d'aujourd'hui doivent être considérés comme invariables; mais ceci fait présumer une autre condition indispensable, d'après laquelle l'attraction solaire n'exige aucun autre effet sur les planètes, que celui qui est nécessaire pour conserver l'équilibre du système solaire et la distance invariable de ces corps du 9 soleil, afin qu'aucune planète ne s'approche de lui et qu'aucune ne puisse s'éloigner, cette condition reste invariable avec le système solaire se mouvant et l'attraction du soleil se reduit à la communication de sa propre vitesse, par suite de là les courves révolutives originaires se changent en spirales. Par cet effet de l'attraction c'est concevable que les planètes doivent rester nécessairement dans la même distance du soleil.[A]
[A] C'est difficile à comprendre comment l'attraction, une force dont la quantité et la grandeur sont données par les masses invariables du soleil et la terre est alternativement croissante ou décraissante. Mais si on ajoute encore, que la vitesse de cette force est infinie et par conséquant sa prétendue action est en même temps momentane, on est tout à fait troublé et stupifié. Où est le motif, où est la cause du decroissement d'une force dont la grandeur et l'action sont constantes et momentans et dont la vitesse est infini? C'est une des questions à laquelle la physique ne donne pas de réponce? Vide: Le pouvoir grossisant de l'atmosphère par August Tischner.
Que l'alongation des spirales dépend du rapport entre la vitesse correspondante du soleil et des planètes et d'une planète et de ses satellites c'est clair. Cette étendue de l'alongation de la courve révolutive est en même temps l'inclinaison (ou déclinaison c'est égal) de l'orbite spirale vers l'axe du système solaire (orbite solaire ou l'équateur céleste); l'angle de l'inclinaison est ainsi donné par la propre vitesse de la planète et de celle du soleil. Que la vitesse d'entrainement la même pour toutes les planètes du système solaire, c'est compréhensible.
On voit que si on aperçoit au ciel étoilé un déplacement perceptible du soleil, qui parait indépendant du double mouvement de la terre, mais qui est accusé clairement par les étoiles (50'', 25, la praecession) on peut conclure avec certitude, que c'est la suite du mouvement propre du soleil ou du mouvement de son système dans l'espace.
En continuant nos différents regards nous pouvons apporter quelque clarté à la question concernant les 10 révolutions et les temps de révolutions. Le déplacement continuel du soleil stipule le changement continuel des planètes et de leur circulation sans interruption; il y a donc un mouvement sans interruption du même mouvement et ni une révolution proprement dite, ni un temps de circulation. Une période de révolution est ainsi le retour du même phénomène ou de la même position apparente au ciel, elle est relative, elle est coïnidence. Que ces coïncidences reviennent périodiquement, quelles reviennent régulièrement, c'est selon toute vraisemblance l'ouvrage de l'attraction universelle.
Il se demand maintenant, quelle phénomène de retour est à considerer comme une révolution ou période révolutive accomplie et à quoi cette période a à se rapporter? La science théorique s'est décidée pour la révolution sidérale, comme il semble dans l'intention de déterminer une conformitée parmi tous les corps du système solaire, que la théorie n'a pas fondé son choix ou sa decision sur une conception rationelle, qui ressort de l'étude des phénomènes, elle a prouvé, en rapportant la rotation de la terre aux étoiles et a établie ainsi une rotation sidérale où c'est pourtant assez clair, que ce mouvement de la terre ne peut se rapporter qu'à lui-même.
Si le système de Copernic était fondé sur la réalité et les planètes circuleraient toujours à la même place, en verité autour du soleil et dans des courves fermées, c'est bien clair qu'après une circulation de 360° elles puissent revenir à la même place de leur orbite et dans ce cas leur position en rapport à une étoile de comparaison pourrait être, après une révolution accomplie de cette manière, la même; mais comme d'après les observations cette coïncidence avec l'étoile à lieu dans des périodes croissants, il s'ensuit que le mouvement des planètes n'a pas lieu d'après le système de Copernic et que la période révolutive des 11 corps, qui forment le système solaire peuvent se rapporter seulement à leur guide c. a. d. au soleil, et l'on peut conclure avec certitude, que ces coïncidences de la position rélative au ciel, tombe dans le même temps qu'elles conservent leur distance du soleil et qu'elles se meuvent avec la même vitesse uniforme.
C'est bien compréhensible, que par suite des orbites serpentant sans cesse, se produisent des coïncidence différentes et qu'ainsi apparaissent périodiquement des différents phénomènes. Cette circonstance fut la cause, pourquoi la théorie attribue à la lune cinq divers temps de révolutions. «Révolution» et «temps de révolution», employés de cette manière n'ont plus aucune signification, aucun sens; car d'après la nature de la chose, on n'a qu'à rester à une seule période révolutive.
Si nous nommons orbites l'espace parcouru des planètes et de leurs satellites spirales sans fin, le chemin du mouvement des corps célestes décrit par elles, alors nous corporisons, pour faciliter, en pensée, notre imagination. Nommons nous le parcours d'un anneau spirale etendue, la description de 360° et la révolution accomplie, nous rapportons cela au soleil et supposens, que les deux points finales (commencement et fin) d'un anneau spirale ainsi réprésenté, se trouvent dans la même ligne, c. a. d. si les points commencent d'une spirale coïncident avec le soleil à l'equinoque vernal, ses fins coïncideront également avec le soleil après une révolution tropique accomplie.
Ce système solaire, se mouvant sans fin et sens borne dans l'espace infini, ce cône—un point en grandeur disparaissant dans l'univers—qui parcourt dans une ligne de double courbure, contient presque tout ce que l'homme peut distinctiment appercevoir au ciel; les mouvemens et les positions toujours changeants sans fin, les variations périodiques et séculaires etc. tout est là; c'est 12 l'unité de la science, le fondement de sa théorie; si on comprend le mouvement dans l'espace, on n'a pas besoin de recourir à des forces cachées, chaque explication est superflue, inutile, la nature s'explique elle-même, supposé que l'homme soit capable de l'étudier.
Remarque: Quelques lecteurs pourrait s'étonner de ce que nous faisons un usage trop fréquent de l'expression «cercle», mais après quelques réflections ils reconnaîtront eux-mêmes que ce mot a un sens bien étendu, qu'il conserve toujours encore, si nous transformont p. ex un cercle donné en différents flexions, qui lui donne une ou plusieurs courbures. Tous les espèces de lignes courbées, qui se laissent projeter comme cercle ou sont menées à 360° peuvent être nommées circulaires. Ainsi on a p. ex decrit un cercle par la lettre S ou avec le chiffre 2; la ligne serpentante, l'ellipse, la cycloide, et plusieurs espèce de spirales ect. se projetent comme circulaires et peuvent être considérer comme une partie sans fin, contenant 360° produit par la circulation. Le mot «circulation nous rapelle déjà un mouvement circulaire, sans que par cela un cercle soit immédiatement décrit; puisque une circulation accomplie ou une révolution dut contenir 360°, c'est compréhensible, que ceux-ci se rapport au cercle. Le double mouvement courbé de la terre, comme nons nous la représentons par un anneaux spirale cylindrique, quand il s'agit d'une partie repondante à une période annuelle est en effet un cercle transformé en un anneaux spirale.
13 Autant que les astronomes négligent d'étudier avec soin attantif les apparitions célestes et leur signification et soutiendront avec obstination la théorie astronomique actuelle, fondée sur les suppositions et les imaginations de Copernic[B], Kepler et Newton, l'astronomie comme elle est enseignée aujourd'hui, n'est rien de plus qu'un jeu de phantasie.
[B] Solis coelique stator.
Nous sommes persuadés, que le Bon-sens de l'homme normal se décidera enfin de rejeter les idées des astronomes sur la mécanique céleste professée aujourd'hui, même contre les efforts des astronomes les plus célèbres à soutenir les superstitions, qu'ils propagent, mais qui ne servent qu'à flatter leur vanité.
Nous demandons pourquoi les astronomes n'ont-ils pas le courage de s'élever contre le système solaire insoutenable et impossible fondé sur le soleil fixe de Copernic, et pourquoi ne veulent-ils pas proposer un système fondé sur le soleil se mouvant dans l'espace?
Ils ont peur, comme Alexandre de Humboldt, de heurter au guêpier.[C] Le courage moral leur manque de s'opposer à des idées généralement acceptées et proclamées comme des vérités incontestables, mais qui ne s'accordent pas à 14 la réalité et qui sont même en contradiction avec la théorie adoptée.
[C] vide: L'astronomie et les astronomes, par A. Tischner 1893, p. 39.
La présomption de tout savoir, est la vraie cause, qui empêche le progrès. Nous espérons que la question soulevée par nous sera décidée dans le siècle à venir.
Nous répétons, que nous n'attaquons pas l'astronomie pratique, mais nous rejetons la théorie de l'astronomie actuelle c. a. d. l'explication des phénomènes célestes apparents.
Un grand astronome.
Himmel und Erde 1889, p. p. 333 und 334.
Mr. W. Meyer dit: «C'est bien compréhensible, qu'il faut avoir appris à connaitre les choses avec tous leurs d'étails, que l'on veut expliquer. C'est une supposition primitive, que malheureusement on ne peut pas assez souvent répéter, aussi aujourd'hui, à des milliers de têtes spéculatives, qui entreprennent de construire avec leur phantaisie tout l'edifice du monde, à l'aide d'un material des connaissances positives, à peine dignes de nommées. Ces architects du monde, qui construisent tout l'univers dans une brochure de quelques vingtaines ou trentaines de pages—qui sont en proportion très harmoniques avec leur savoir—sont pour les astronomes une secte très incommodes. Ces gens tiennent avec entêtement tout à fait inébranlable à leurs idées fixes, et avec des arguments des science positives ce n'est pas possible de les persuader. Une vieille experience enseigne que ce serait une peine tout à fait vaine de les persuader de quelque chose de meilleur et que malgré toute la bonne volonté et tout l'enthousiasme on ne pourrait rependre une explication générale sur cet objet. Contre de tels gens il faut se resoudre à une resignation douloureuse et leurs laisser continuer tranquillement leur faux chemin.»
Ainsi parle un Copernicain, qui ne peut pas comprendre, que quoique depuis 1783, le propre mouvement du soleil a été reconnu par observation et qu'il se meut avec une 16 vitesse de 30 Kilomètre par seconde, la terre qui marche presque avec la même vitesse que le soleil ne peut pas circuler autour du centre du soleil. Ou bien le soleil se meut ou bien il ne se meut pas, mais de supposer le soleil en repos sur la même place et se mouvant en même temps trente Kilomètre par seconde, c'est un non-sens.
Mr. Wilhelm Meyer, né 1853, directeur de l'observatoire de la société des actionaires «Urania» à Berlin, est un grand astronome, qui a approfondit tous les détailes de l'astronomie et de la mécanique célestes et sait ce que se passe dans les replis les plus profonds de l'espace céleste.
Sta, sol, ne moveare. August Tischner. Leipzig 1881-1882. Gustav Fock.
Die Grösse, Entfernung und Masse der Sonne. August Tischner. Leipzig 1882. Gustav Fock.
The sun changes his position in space, therefore he cannot be regarded as being «in a condition of rest». August Tischner. Leipzig 1883. Gustav Fock.
The fixed Idea of astronomical Theory. August Tischner. Leipzig 1885. Gustav Fock.
L'Histoire de la découverte de la Planète Neptune, par Em. Liais. Astronome de l'observatoire impérial de Paris. Reproduit de l'ouvrage: L'espace céleste et la nature tropical, Paris 1866. Par Auguste Tischner. Leipzig 1892. Gustav Fock.
Le mouvement de la Lumière. August Tischner. Leipzig 1892. Gustav Fock.
Le pouvoir grossissant de l'Atmosphère. August Tischner. Leipzig 1892. Gustav Fock.
Le mouvement universel. August Tischner. Leipzig 1893. Gustav Fock.
Les astronomes. August Tischner. Leipzig 1893. Gustav Fock.
L'astronomie et les Astronomes. August Tischner. Leipzig 1893. Gustav Fock.
Littérature.
1. De orbitis planetarum. Georg Wilh. Hegel. Jena 1801.
2. De l'imposibilité du système astronomique de Copernic et de Newton. L. J. Mercier. Paris 1806.
3. Ueber Newton's, Euler's, Kästner's und Konsorten Pfuschereien in der Mathematik. Langsberg. Heidelberg 1807.
4. Die Sonne bewegt sich. Folgerungen aus dieser Lehre in Bezug auf die Fixsterne und Planeten. C. R (ohrbach). Berlin 1852.
5. The solar System as it is, and not as it is represented. R. J. Morrison. London 1857.
6. Mémoire sur le système solaire et sur l'explication des phénomènes célestes. Charles Nagy. Paris 1862.
7. Considération sur les Comètes, éléments de Comètologie. Charles Nagy. Paris 1862.
8. Die Sonne und die Astronomie. K. Nagy. Leipzig 1866.
9. Das wahre Sonnensystem. Bewegung und Bahnen der Gestirne nach einer neuen Auffassung über dieselben im Himmelsraume und zwar, welche nicht in Ellipsen statt hat. James Milberg. München 1862.
10. Die wahre Gestalt der Planeten- und Cometenbahnen. Fried. Carl Gustav Stieber. Dresden 1864.
11. Mathematische Sophismen. Joh. Viola. Wien 1865.
12. Die absolute Bewegung der Himmelskörper und die wahre Natur der Dinge. Hugo Keifenheim. Köln und Leipzig 1868.
13. Unumstösslicher Nachweis, dass die Erde nicht um die Sonne herumgehe. Xaver Schechner. München 1868.
14. L'astronomie moderne. W. de Fonvielle. Paris 1869.
15. Die Widersprüche in der Astronomie. C. Schöpffner. Berlin 1869.
16. Der Himmels-Mechanik Reform auf Grund der inductiven Logik. V. P. Kluck-Kluczycky. 1880.
17. Nuevo sistema planetario. A. Morera. Barcelona 1883.
18. Kritik der drei Kepler'schen Gesetze. Reindorf. Neuhaldesheim.
19. Ueber die Veranschaulichungsmittel für mathematische Geographie. F. A. Püschmann. Grimma.
20. Système solaire d'après la march réelle du soleil. E. G. Fahrner. 2me éd. Paris 1869.
21. Sterntafeln für alle Jahrhunderte von -2000 bis +1800. Dr. O. Danckwortt.
22. Freret. Défense de la chronologie, contre le système chronologique de Newton. Paris 1758.
23. Mathematisch begründete Bedenken gegen das Kopernikanische Weltsystem. A. L. Dispek. Frankfurt a. M. 1822.
24. Die Frage der Veränderlichkeit des Sonnendurchmessers. K. Remeis. Leipzig 1880.
25. Das Mangelhafte der Newton'schen Gravitations-Theorie v. L. C. H. Boritsch, gen. Barnet. Rostock 1866.
26. Discours préliminaire d'un système du monde, basé sur la propriété la plus général des corps. L. Delobel. Bruxelles 1846.
G. KREYSING, LEIPZIG.
Druck von G. Kreysing in Leipzig.